Merci au Président Macky Sall pour l’inauguration du Pont de Faraféni. Ces derniers jours, les opposants sénégalais ont perdu le sommeil, abasourdis par la série d’inaugurations initiées par le Chef de l’État. L’autoroute Ila Touba, les sphères ministérielles de Diamniadio, le premier trajet du Ter, les immenses routes au coeur du Saloum, le dragage du Port de Kaolack, la grande mosquée de Guédiawaye, l’autoroute AIBD-Thiès-Mbour et j’en passe. Il faudra désormais aux détracteurs de Macky Sall, de changer de pays pour ne pas être ridicules. Le bilan ne souffre d’aucune ambiguïté.
Beaucoup d’amis étrangers me disent que le Sénégal avec ses infrastructures de dernière génération est en train de changer véritablement. Et le meilleur reste à venir!
N’en déplaise à nos détracteurs, le Sénégal change. Samedi j’ai regardé avec plaisir un match de basket à Dakar Arena. C’est une salle qui n’a pas son pareil en Afrique, il faut oser le dire. D’ailleurs, la performance des équipes féminines a progressé en une journée. Au moins sur trois matches des six qui s’y sont joués, les équipes vainqueurs ont dépassé le cap des 80 points. À Marius Ndiaye, sous la chaleur, dépasser 50 points était parfois un exploit. Ça c’est le Sénégal émergent.
À l’heure du bilan, notre candidat Macky Sall est le meilleur. Il a amené l’électricité de manière permanente, il a électrifié près de 2000 villages (plus que ce que les autres présidents ont fait en 52 ans). Il a bitumé plus de 2000 kilomètres de route et tracé plus de 8000 kilomètres de piste rurale. En cinq ans, il a réalisé plus de 220 kilomètres d’autoroute et va faire, s’il est réélu, au moins 300 kilomètres supplémentaires. Ses trois prédécesseurs n’ont pas réalisé plus de 30 kilomètres, autoroute coloniale, Pompiers-Colobane, compris. Le bilan de Macky Sall ne souffre d’aucune tâche et c’est parce que ses opposants le savent qu’ils essaient de l’attaquer sur d’autres sujets banals et sans grand intérêt pour les sénégalais. D’ailleurs, c’est parce que leur combat est tellement impopulaire que leurs appels à l’insurrection n’ont pas trouvé écho auprès des vaillantes masses sénégalaises.
Le 24 février 2019, s’il plait à Dieu, le score de Macky Sall sera tellement massif, que certains se rendront compte que le Sénégal n’est pas un pays virtuel. Ceux qui ont des partisans qui créent des milliers de pseudos sur Facebook pour se donner une illusion de popularité se rendront vite compte qu’ils ne connaissent rien à la politique.
J’avais écrit ici il y a deux ans, lors des bravades d’Abdoul Mbaye contre Macky Sall, que son score électoral va le renvoyer à ses études. Le pauvre n’a même pas pu ramasser quelques restes pour devenir député. Parmi les quatre autres candidats retenus, nul n’arrive Macky Sall à la cheville. On peut passer la journée sur les réseaux sociaux et les médias à blabater, mais la politique se gagne sur le terrain. Les sénégalais savent parfaitement qu’il y a encore des problèmes à régler, mais ils sont surtout conscients que Macky Sall doit poursuivre les bonnes actions qu’il a entamées. Il a fait tellement de choses visibles en si peu de temps, qu’il mérite une large réélection par la grâce du Bon Dieu.
N’en déplaise à nos détracteurs, le Sénégal change. Samedi j’ai regardé avec plaisir un match de basket à Dakar Arena. C’est une salle qui n’a pas son pareil en Afrique, il faut oser le dire. D’ailleurs, la performance des équipes féminines a progressé en une journée. Au moins sur trois matches des six qui s’y sont joués, les équipes vainqueurs ont dépassé le cap des 80 points. À Marius Ndiaye, sous la chaleur, dépasser 50 points était parfois un exploit. Ça c’est le Sénégal émergent.
À l’heure du bilan, notre candidat Macky Sall est le meilleur. Il a amené l’électricité de manière permanente, il a électrifié près de 2000 villages (plus que ce que les autres présidents ont fait en 52 ans). Il a bitumé plus de 2000 kilomètres de route et tracé plus de 8000 kilomètres de piste rurale. En cinq ans, il a réalisé plus de 220 kilomètres d’autoroute et va faire, s’il est réélu, au moins 300 kilomètres supplémentaires. Ses trois prédécesseurs n’ont pas réalisé plus de 30 kilomètres, autoroute coloniale, Pompiers-Colobane, compris. Le bilan de Macky Sall ne souffre d’aucune tâche et c’est parce que ses opposants le savent qu’ils essaient de l’attaquer sur d’autres sujets banals et sans grand intérêt pour les sénégalais. D’ailleurs, c’est parce que leur combat est tellement impopulaire que leurs appels à l’insurrection n’ont pas trouvé écho auprès des vaillantes masses sénégalaises.
Le 24 février 2019, s’il plait à Dieu, le score de Macky Sall sera tellement massif, que certains se rendront compte que le Sénégal n’est pas un pays virtuel. Ceux qui ont des partisans qui créent des milliers de pseudos sur Facebook pour se donner une illusion de popularité se rendront vite compte qu’ils ne connaissent rien à la politique.
J’avais écrit ici il y a deux ans, lors des bravades d’Abdoul Mbaye contre Macky Sall, que son score électoral va le renvoyer à ses études. Le pauvre n’a même pas pu ramasser quelques restes pour devenir député. Parmi les quatre autres candidats retenus, nul n’arrive Macky Sall à la cheville. On peut passer la journée sur les réseaux sociaux et les médias à blabater, mais la politique se gagne sur le terrain. Les sénégalais savent parfaitement qu’il y a encore des problèmes à régler, mais ils sont surtout conscients que Macky Sall doit poursuivre les bonnes actions qu’il a entamées. Il a fait tellement de choses visibles en si peu de temps, qu’il mérite une large réélection par la grâce du Bon Dieu.
El Malick Seck
(Journaliste, homme politique et conseiller municipal à Thiès)