Le 06 mai 2022 à 12 h 50, le Commissaire central adjoint de Kaolack informait le Procureur de la
République de la présence au sein dudit service de sécurité publique, d’un père de famille qui signalait le sort de son enfant déclaré mort par les soignants, avant qu’il ne découvrait lui-même que l’enfant, déjà acheminé à la morgue, présentait des signes de vie, renseigne un communiqué du Parquet de Kaolack.
Lequel poursuit en faisant savoir: « la descente du Commissaire de Police sur les lieux (Hôpital
régional de Kaolack), permettait de relever la réalité de l’information et le constat de réadmission de l’enfant
aux soins.
Durant la nuit, l’enfant, souffrant d’une pathologie assez grave, succombait des suites de sa maladie
l’ayant exposé à des détresses respiratoires aiguës ».
régional de Kaolack), permettait de relever la réalité de l’information et le constat de réadmission de l’enfant
aux soins.
Durant la nuit, l’enfant, souffrant d’une pathologie assez grave, succombait des suites de sa maladie
l’ayant exposé à des détresses respiratoires aiguës ».
Un vivant à la morgue
» A l’égard des faits décrits, il convient de signaler qu’après la plainte du chef de famille, une enquête a été aussitôt ouverte par le Parquet aux fins de détermination des conditions dans lesquelles l’enfant a été déclaré mort par erreur. Les investigations confiées au Commissariat central de Kaolack, se poursuivent », renseigne le document.