L’Union des Enseignants du Sénégal a tenu une conférence de presse  sur le thème : « Non à l’iniquité dans le traitement du personnel Enseignant». Ces derniers, victimes d’injustice se veulent être dans les mêmes conditions que leurs collègues fonctionnaires.



La rencontre a porté essentiellement sur trois points dont la lancinante question des enseignants décisionnaires discriminés L’inadéquate prise en charge financière des professeurs contractuels découlant du non-respect di protocole d’accord du 26 février 2022 La gestion opaque et clientéliste du secteur de l’emploi, de la Formation Professionnelle, de Apprentissage et de l’assertion.

Abdourahmane Kane, secrétaire général national de ladite union avance que l’iniquité dont ils sont relevés du fait que la loi 74 347 du 12 avril fixant le régime spécial applicable aux agents fonctionnaires de l’État qui régit les décisionnaires est caduque. Dans la logique de la reconquête de leurs droits, ils exigent que 40 % de l’ancienneté soit pris en compte en cas de reclassement. pour respecter le parallélisme des formes avec les fonctionnaires ; de prendre la date d’anniversaire de l’agent à la retraite comme date d’entrée en puissance de sa pension à l’instar de celle de la liquidation des droits à la pension de retraite ; de veiller à l’harmonisation des cotisations avec celles du fonds national de retraite (FNR) pour permettre aux décisionnaires d’avoir des pensions acceptables la diligence du traitement des dossiers des pensionnaires de l’IPRES qui attendent plusieurs mois avant de recevoir leur maigre pension à cause des lenteurs, de prendre en charge le service médical. Elle réclame aussi la tenue régulière des commissions d’avancement des enseignants contractuels pour leur permettre de bénéficier de leur plan de carrière et d’être motivé à l’instar des autres enseignants, renseigne le secrétaire.
Par ailleurs, il lance un signal d’alerte et indique la stabilité de l’école est incompatible avec des enseignants traités différemment alors qu’ils sont recrutés dans les mêmes conditions et sont assujettis aux mêmes devoirs. Elle regrette de même la négligence de carrière des formateurs. « Il n’existe pas de dispositif de formation pour certaines, filières notamment: l’informatique, la gestion, la cordonnerie, la bijouterie et le traçage ». Dans l’objectif d’atteindre leur objectif, elle fait appel au ministère de l’artisanat et le traçage ». Afin d’atteindre leur objectif, elle fait appel au ministère de l’Artisanat.

Pour rappel es nombreuses préoccupations, qui agitent ledit syndicat et qui gravitent autour des questions, sur le respect du protocole d’accord du 30 avril, le lancement du processus devant les mener au 9ème congrès ordinaire, l’accumulation des projets en signature ou encore la situation des sortants du CNEPS de Thies, et la bourse des élèves – maîtres, pour ne citer que ceux là.