Une vingtaine de chefs d’État africains s’est déplacée à Glasgow pour la 26e conférence des parties sur le climat (COP26). Ils ont commencé à s’exprimer, comme tous les autres dirigeants présents, depuis hier lundi 1er et mardi 2 novembre au cours du sommet, prélude aux négociations.
Et ils devraient exprimer les principales revendications de la délégation africaine, en particulier que se concrétise l’aide promise depuis dix ans à l’Afrique pour qu’elle s’adapte au changement climatique.
Les présidents Félix Tshisekedi (République démocratique du Congo), Mohamed Bazoum (Niger), Denis Sassou-Nguesso (Congo-Brazzaville), Ali Bongo (Gabon), Andry Rajoelina (Mada- gascar), Muhammadu Buhari (Nigeria), Abdel Fattah al-Sissi (Égypte), Nana Akufo-Addo (Ghana), George Weah (Liberia), Uhuru Kenyatta (Kenya)…
En tout, une vingtaine de chefs d’État et une trentaine de ministres ont fait le déplacement de Glasgow pour cette Cop 26 cruciale. Les premiers à parler ont eu 3 mn chacun pour porter la voix de l’Afrique. Et pour exprimer d’abord son impatience.