Le FRAPP, le collectif pour la justice et contre les violences policières et les familles de détenus demandent la libération des 35 prisonniers du Camp pénal mis en isolement.Le FRAPP, le collectif pour la justice et contre les violences policières et les familles de détenus demandent au directeur de l’administration pénitentiaire de calmer le nouveau chef de cour et le directeur de la prison du Camp pénal. Rapporte la coordination du mouvement par une note qui nous est parvenue.
«Des grenades lacrymogènes ont été lancées dans les chambres des prisonniers et les prisonniers enfermés avec les fumées de lacrymogènes (voir photos).Les prisonniers ont des droits et le FRAPP, le collectif pour la justice et contre les violences policières et les familles de détenus tiendront le ministre de la justice pour responsable de toute tragédie qui arrivera à la prison du Camp pénal». Dénoncent-ils. (Voire Photo)