Le Code de la presse protège la vie privée des Sénégalaises et Sénégalais et non l’homosexualité
Il s’inspire de la Constitution qui dispose en son Article 7 : « La personne humaine est sacrée. Elle est inviolable. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger.
Tout individu a droit à la vie, à la liberté, à la sécurité, au libre développement de sa personnalité, à l’intégrité corporelle notamment à la protection contre toutes mutilations physiques. »
Cette disposition constitutionnelle a fortement inspiré les rédacteurs du nouveau code de la presse.
Contrairement aux affabulations de certains liberticides cercles obscurantistes, le code de la presse ne protège pas l’homosexualité mais défend la vie privée.
L’Article 17 du code de la presse ainsi malhonnête interprété ne dit pas autre chose que le constitution.
En vertu de l’Art. 17. Le journaliste et le technicien des médias doivent respecter la vie privée des personnes.
Selon le Code de la presse, constitue une atteinte à la vie privée, la divulgation de l’intimité de la vie privée d’autrui par :
« – la captation, l’enregistrement, la conservation, la transmission ou la publication, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées, des images, des photos ou des vidéos à titre privé ou confidentiel ;
– la publication, par quelque moyen que ce soit, de montage réalisé avec les paroles ou l’image d’une personne, sans son consentement.
Le journaliste et le technicien des médias doivent s’interdire les accusations anonymes ou gratuites.